Le service de conciergerie Walter Brand propose des services généralistes et localisés pour les particuliers
C’est le printemps.
De quoi fredonner de bon cœur en même temps que les oiseaux ces paroles de Claude François :
« Viens à la maison y’a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t’attendent
Les pommiers sont en fleurs, ils berceront ton cœur »
Oui, ça donne du baume au cœur, les premiers rayons de soleil sont là ; il fait doux il fait bon et ça sent le barbecue.
Oui, mais avant de pouvoir faire ce fameux barbecue et inviter des amis à la maison, il va falloir débroussailler, débroussailler et encore débroussailler. Mais si encore cela suffisait. Non, il va falloir sortir le mobilier, tout nettoyer, remettre en ordre, arranger, carchériser, repeindre. Enfin remettre en état les lieux qui ont été soufflés par un vent digne d’un sirocco bien dégueulasse qui dépose un épais manteau jaune de sable et de terre à la foi. Il y a eu les inondations de l’automne et du printemps. Bref, avant de pouvoir déguster les mets grillés aux senteurs divines de la flamme maitrisée du barbecue à gaz, il y a de quoi être découragé et ne faire qu’écouter la chanson de Claude pour le printemps prochain en espérant un miracle d’ici là.
Et finalement faire comme Jacques Dutronc, à retourner se lover dans mon lit douillet :
« Avec mes manies et mes tics
Dans mon p’tit lit en plume d’oie
J’y pense et puis j’oublie
C’est la vie, c’est la vie »
Cependant l’appel des petits oiseaux est le plus fort. Et c’est alors que la chanson reprend le dessus en pensant à la pluie et au beau temps, et ce beau temps qui risque de passer sans que rien ne soit fait .. revient inéluctablement un refrain bidonnant interprété par Fernandel lui-même :
« Elle bavardait chez la concierge
Bavarder, ça fait passer l’ temps
Elle bavardait chez la concierge
Et de la pluie et du beau temps »
Mais oui. Comme au temps d’avant, un concierge en bonne et due forme. Ils manquent tant avec leur bel uniforme de chevalier servant tout galant.
Ils sont ingénieux ces hommes à tout faire. Si intelligents qu’ils ont su se métamorphoser et être dans l’ère du temps en se retrouvant maintenant sur internet.
Mais oui !
Nettoyer, balayer, ranger, nettoyer, il suffisait d’y penser. Ne reste plus qu’a l’appeler.
Walter ! Walter !
C’est bien Walter Brand qui va se charger de tout astiquer en cherchant immédiatement le jardinier, en commandant fleurs et ornements chez le pépiniériste, louer un nettoyeur vapeur chez un magasin de bricolage. Et oui, même un grilladin qui va récupérer les barquettes de saucisses et brochettes chez le Supermarket du coin. Un printemps revé ! C’est Walter Brand qui l’a fait. Il ne manque plus qu’a faire la pluie et le beau temps mais ce serait trop lui demander bien sûr. Et puis les amis seraient jaloux de tous ces services proposés à moindre frais. Ils voudraient eux aussi chanter du Claude François et piquer le concierge en or.
